Un BSI solide, c’est d’abord une donnée irréprochable, ensuite un message clair — et la capacité à livrer sous pression.
C’est ce que rappelle Régis Lozet, ancien SVP Compensation, Benefits & Mobility chez EDF, qui a également dirigé la fonction Comp & Ben et HR Controlling dans des groupes comme Accor et La Poste. Avec plus de 25 ans de carrière dans les RH, il sait exactement ce qu’attendent les directions, les collaborateurs et les comités de rémunération.
Dans son retour d’expérience, Régis Lozet souligne trois atouts clés d’Adesidées pour la réussite d’un BSI : la fiabilité des données, la richesse éditoriale et graphique, et la capacité à livrer dans des conditions de forte contrainte.
1. La donnée avant tout
Un BSI, c’est d’abord un document sensible : il concentre rémunérations, avantages et dispositifs RH.
Pour Régis Lozet, pas de compromis sur la qualité des datas :
« On peut être certain de la qualité des données. Il y a des contrôles extrêmement précis et des équipes techniques au niveau pour intégrer les datas. »
Concrètement :
- des contrôles de cohérence (écarts, totaux, rapprochements avec référentiels C&B),
- une intégration technique robuste,
- une traçabilité des corrections partagée avec la DRH et la Finance.
2. Un équilibre entre rigueur et créativité
Un BSI n’est pas qu’un tableau de chiffres. Il doit aussi être lisible et donner envie d’être lu.
« Il y a une touche communiquant-marketeur dans l’approche Adesidées qui peut ouvrir une richesse. Ils peuvent parfaitement faire du classique… mais ils ont aussi la capacité à prendre les sneakers — pour prendre une métaphore — tout en respectant une charte graphique historique. »
En clair :
- mode classique si la culture l’impose (sobriété, tableaux, pictos discrets),
- mode créatif quand il faut embarquer les collaborateurs (métaphores, storytelling, pédagogie),
- toujours dans le cadre strict de la charte graphique de l’entreprise.
3. Tenir les délais malgré la pression
Les BSI sont des livrables à la fois sensibles et… souvent produits en dernière minute. C’est là que la réactivité devient critique :
« Ils sont fort sympathiques, ce qui permet de travailler malgré souvent des coups de pression… Faut reconnaître qu’ils ont une capacité à gérer le stress qui est assez importante et [ils sont] au rendez-vous sur les livrables. »
Les clés selon son expérience :
- organisation en “mode projet” avec validations rapides,
- priorisation claire en pic de charge,
- gestion de la dernière ligne droite avec checklists et procédures d’urgence.
Ce que cela change côté collaborateurs
Pour Régis Lozet, ce type d’approche garantit :
- une compréhension immédiate (moins de questions, plus de feedbacks utiles),
- une crédibilité renforcée de la rémunération,
- une valorisation de la fonction RH, le BSI devenant un outil de dialogue et non un simple livrable technique.
5 enseignements à retenir
- Commencer par la donnée : contrôler, tracer, fiabiliser.
- Définir dès le départ le “mode” attendu (classique ou créatif).
- Écrire pour l’utilisateur final, pas pour les seuls experts.
- Baliser la dernière ligne droite (qui décide quoi, quand).
- Documenter pour capitaliser (glossaire, versioning, arbitrages).
Avec son regard d’ancien SVP Compensation & Benefits et d’ex-Global Head of HR Controlling (EDF), Régis Lozet rappelle que la réussite d’un BSI repose sur un triptyque clair : Data – Design – Delivery.
« On peut être certain de la qualité des données… et en plus, il y a une touche communiquant-marketeur. Ils collent aux attentes, respectent la charte et savent gérer la pression sur des livrables complexes. »
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